To make up or not

...that's really not the question



Coco et Julien de Tendances de Mode m’ont proposé d’être leur invitée du mercredi. Je vous propose de lire l’article, une réflexion superProfonde sur le maquillage, les com et de revenir ici.

Ayé? c’était bien non? hahaha. juste pour revenir sur ce truc de la peur : le maquillage est-il un mensonge? vous en pensez quoi? je pensais ça aussi quand j’étais plus jeune. arf, ça a des avantages de devenir vioc, je vous jure. on apprend des choses sur soi. hahaha. je pense en tout cas, que ma personne ne change pas avec ou sans maquillage. je m’autorise à sortir maquillée ou pas. je fais CE QUE JE VEUX. je pense qu’il y a des généralités mais pas de règle au niveau individuel sur les femmes qui ne portent pas du tout de maquillage et celles qui en portent vraisemblablement trop. Qu’on peut se réaliser physiquement, s’aimer profondément dans l’une ou l’autre option. MAIS qu’en revanche, tout raisonnement sous-tendu par la peur, ne peut pas être un bon raisonnement. avoir peur de se maquiller (et de mentir) ou de ne pas se maquiller (et d’être repoussante) sont finalement la même chose. n’accordez pas tant d’importance au regard des autres. les gens s’en foutent, ils vous aiment. et ne pensez pas que vous même puissiez vous tromper en vous regardant. c’est pas un trait d’eyeliner qui va « pouf » vous transformer en pouffe! hahaha

voilà, je crois avoir trouvé ma meilleure conclusion ever.

je vous aime beaucoup.

Il y a 11 ans / Bouche 38 commentaire(s)

38 commentaire(s)

  • tiens il n’y a pas si longtemps j’ai eu cette réflexion devant mon miroir un matin…j’ai changé ma manière de me maquiller.

    Il y a deux trois ans, Je me souviens d’un matin où j’étais avec ma cousine et je me maquillais, elle m’a demandé si elle pouvait regarder comment je faisais et moi tu penses toute fière « oh ben oui pas de problème »…
    et me voilà partie avec mes pinceaux, mon fond de teint, mon blush, mes fards à paupières, mon waterproof (toujours…ahaha), tout ça devant la glace et à me « peindre » littéralement…Et j’expliquais (toujours toute fière), que j’adorai « me peindre » avec le pinceau, je trouvais que ça « se fondait » bien
    …Une fois terminée ma cousine me regarde et me dit « euh t’en a pas un peu trop là???? »…. »huuuum la loose quoi ».

    Bref tout ça pour dire qu’à cette époque oui j’étais pratiquement la peinture ambulante et fière de l’être. Tant pis le nude, le naturel, le blablabla…moi je me sentais bien comme ça…je me « cachais » derrière toutes ces couleurs.(parce qu’il faut dire qu’avec ma peau d’internelle ado acnéique du moment…à l’époque j’avais de quoi cacher )

    Jusqu’au jour où j’ai commencé à « poser-tapoter-masser »…là c’était la nouvelle révélation du lacher prise. J’ai commencé à assumer toutes ces imperfections…tant pis les gros boutons, on s’assume un peu (un peu j’ai dit)

    Petit à petit mon démaquillage du soir (millefeuille) a fait que ma peau à moins de boutons (beaucoup moins),mes pores se sont resserés (beaucoup plus) et du coup…le matin je n’ai pratiquement plus besoin de rester des heures devant mon miroir à me peindre pour me cacher.

    Donc : pour ma part mon rapport avec le maquillage, c’est essayé de « sublimer la sublime que je suis (houhouhou…)…mouai tu parles. Et aussi de coordonner mon make-up avec mon style vestimentaire du jour. J’ai du mal à me maquiller fard à paupière et tout et tout…lorsque je suis en jean large tee-shirt et converse.

    Par contre…je ne sors jamais sans…mon rouge à lèvre. C’est mon truc beauté inconditionnel que je porte depuis…l’adolescence.

    et puis je veux rajouter aussi que la blogo a changé beaucoup de choses dans ma manière d’être…aussi bien dans le make-up, que vestimentaire. Je crois aussi que la blogo m’a aidé « à me trouver » …

    voilà tu sais tout….;-)

  • Chaque jour je me réveille d’une humeur différente de la veille. Chaque jour je me prépare, je maquille ou non suivant ce que j’espère pour ma journée. Je sais que je ne serai pas exactement la même dans ma vie si mes yeux sont charbonneux, mes lèvres peinte ou mon visage nu.
    J’aime particulièrement ce moment où je décide des premiers moments de ma journée. Je sais que quoiqu’il arrive je ne pourrais décider de tout.
    Aujourd’hui le soleil éclaire Paris. J’ai envie qu’il éclaire mon visage et mon humeur. Mes yeux ne seront pas charbonneux.

  • se maquiller = mentir aux autres, ne pas se montrer tel qu’on est : moi aussi j’ai pensé ça. Je pense que ce genre de réflexions diminue avec l’âge, plus on avance et moins on a besoin de se sentir exister à travers les yeux des autres, on cherche moins leur approbation..et puis se montrer tel qu’on est c’est quasi impossible je crois. Est ce qu’on sait réellement qui on est déjà pour soi? Se montrer tel qu’on est passe justement par le maquillage, les fringues, le parfum, la façon de parler..pour moi tous ces « artifices » n’en sont pas/plus vraiment à condition d’y réfléchir un minimum et d’avoir une relation sincère avec eux.. au fond la grande recherche c’est de se sentir bien avec soi-même..

    • Merci! Je suis tellement d’accord avec vous.
      C’est comme mettre des talons qui te grandissent, du noir qui affine, faire de l’architecture en pleine nature… La question n’est pas celle de la nature vs. Culture mais de l’ interaction juste entre les 2.

  • Sa vision du maquillage c’est souvent lié aux femmes avec qui on a grandi. J’ai eu une maman qui, jeune, se maquillait très peu et était juste très belle mais moi, j’aimais dessiner, colorier et le maquillage était une prolongation normale de cet amour-là. Résultat, tout ceci conjugué fait que le maquillage c’est un plus, c’est un plaisir mais ce n’est pas une obligation.
    Quant à « mentir », il faut juste sortir de l’hypocrisie du « vrai ». Quand je m’habille, je me mets en valeur, ça ne veut pas dire que je mens, juste que je me connais.

  • A 23 ans, je venais de m’installer à Paris, j’ai découvert MAC, j’avais les yeux fardé d’une couleur différente chaque jour….à 30, je ne sortais pas sans mon Smokey (bien noir), aujourd’hui (à 37 ans) et des cernes de folie (dont je ne connais pas la raison) je mise sur un teint parfait, et des yeux a peine maquillés d’un trait d’eye liner…
    ma façon de me maquiller évolue avec les traits de mon visage et mon age ….

    PS : si vous avez une solution miracle pour faire disparaitre ces cernes ….

  • Tout ce que tu dis est vrai, le make up ou le non make up c’est fonction de l’humeur, pourquoi essayer de compliquer des choses qui sont faites pour se faire plaisir, je crois qu’on le comprend plus avec l’age, ce n’est pas le maquillage et les accessoires qui font la femme mais par contre ils peuvent l’aider à se réaliser ou juste à s’éclater!

    Pis j’ai ça coller quelque part:

    « You eat you’re fat, you don’t eat you’re freak. You drink you’re an alcoholic, you don’t drink you’re a pussy. You read you’re a nerd, you don’t read you’re stupid. You tell a secret you’re an attention seeker, you don’t tell a secret you’re still an attention seeking. You let someone in, you’re easy, you don’t let someone in, you’re too uptight. You smoke, you think you’re cool, you don’t smoke you’re a loser. You’ve had sex, you’re a slut, you haven’t had sex, you’re a frigid little bitch. You wear make, you’re a slag, you don’t wear make up you’re ugly.
    You can’t please anyone. Ever. »
    Alors en fin de compte le plus important c’est d’être bien avec soi et le reste on s’en tape!

    Mait’es trop génile!

  • Quel kif de te lire, Timaï ! Moi, je n’ai jamais le sentiment d’être toute nue dans la rue (sauf quand je me rends compte que ma robe est restée coincée dans mon collant), mais grâce à toi, j’ai vu que je me construisais des mini-interdits : je croyais que le fond de teint, c’était un art et qu’il fallait en mettre partout, du coup j’en achetais que je ne mettais jamais, je croyais que les rouges orangés ne m’allaient pas, alors qu’il suffisait de trouver son rouge. Bref, tu as le don pour remettre de la liberté et de la fantaisie dans les choses, pour formuler par des phrases simples des idées qui résonnent longtemps en moi (sublimation/transformation, je vais l’utiliser pour plein de trucs). Merci ma belle ! Quand j’ai le blues et que je mets un beau rouge à lèvres qui claque pour me donner du courage et un peu de joie de vivre, en me regardant dans le miroir, j’ai toujours une pensée pour toi.

  • Moi aussi, je t’aime beaucoup, Timai. Pour ta tendresse, tes mots, tes idees et toute cette douceur. Voila, c’est tout ce que je voulais te dire. Et puis merci, aussi, pour ton regard qui tombe toujours juste.

  • Bonjour Timai, je te suis depuis environ un an et demi avec assiduité tant j’aime ton blog.
    J’ai trouvé ton article intéressant et interpellant, et j’ai donc envie d’y répondre.
    Se maquiller le matin dans sa salle de bain représente à mes yeux (fardés) bien plus qu’un rituel: c’est un rendez-vous avec moi-même. Un moment où après avoir fait le point sur mon apparence, je me réconcilie avec elle, avec ce moi extérieur que je ne maîtrise pas toujours. Le moment du maquillage est aussi un véritable instant plaisir pour tous les sens – et au cours de ma journée de travail, je n’ai pas l’occasion de solliciter mes sens de cette façon, tous en même temps. D’abord la vue bien entendu: toutes ces nuances de couleurs me ravissent, ouvrir une palette d’ombres à paupières me met en joie, un régal gourmand et gourmet pour les yeux! Ensuite, vient la fascination de poser les fards sur sa peau et de voir les nuances changer, se fondre, se mélanger pour créer qqch d’aussi unique qu’éphémère. Le toucher (on fait à présent des textures à tomber), l’odorat (certains produits sentent divinement bon), le goût (pour certains baumes à lèvres ou rouges à lèvres), même l’ouïe (le plaisir d’entendre les frottements des pinceaux sur les fards)! Bref, je peux difficilement zapper le maquillage le matin tellement ça me fait du bien, au-delà de l’apparence.

    De façon générale, j’aime bien constater qu’une femme se maquille même si son maquillage est maladroit. Plus le maquillage est réussi, plus cela me fascine. Plus il est maladroit, plus cela m’émeut.

  • Super article, ça permet de prendre du recul par rapport au regard des autres en effet. Pour ma part, je suis fan de maquillage, de couleur, d’ombre, de lumière et pourtant aujourd’hui maquiller me sert essentiellement à camoufler mes problèmes de peaux (à 26 ans, un réel scandale), tout le monde me dit laisse ta peau respirer tu ne te maquilles pas trop mais tu devrais te laisser aller… han hannn et pourtant lorsque je vois ces nanas négligentes avec leurs peaux et biensur avec un grain parfait, je ne peux m’empêcher de les envier. Alors tu as raison, je vais tenter de lâcher prise pour savourer toutes ces couleurs à leur juste valeur.

    La bisette, très belle journée

  • « Je fais ce que je veux  » : réussir à s’affranchir du regard des autres et entretenir une vraie relation de tendresse avec soi-même sont à mon avis essentiels pour se découvrir et faire du make-up et des fringues des outils d’expression et non de camouflage. Un work in progress de tous les jours…

  • Le maquillage, même léger, est un moment de plaisir pour. Après, de façon un peu plus à terre, je trouve que c’est aussi une façon de se présenter aux autres notamment dans le monde du travail. J’ai du mal à comprendre celles qui se présentent à des postes importants sans cette « coquetterie ». Ce n’est pas une obligation mais dans des univers très codés comme peuvent l’être certains boulots, rares sont celles qui peuvent, je trouve, se permettre de ne pas « faire un petit effort ». J’espère que mes propos ne seront pas mal interprétés car je ne veux pas paraitre trop rigoriste ni péremptoire. C’est juste que je suis toujours interpellée par celles qui se présentent en soirée ou à des rdv importants sans maquillage. Mais peut-être cela leur importe moins qu’à moi…

  • C’est tellement vrai tout ça. L’expérience du fond de teint acheté et (quasi)jamais utilisé sonne comme un vieux souvenir… pas si vieux en faite !
    Je crois que ça été ma plus grande crainte très longtemps, « je ne veux pas me maquiller, car je ne veux pas qu’on me voit sans maquillage! ». hm,hm.
    Donc pendant très longtemps et jusqu’à encore quelques années, c’était mascara et crayon brun à toutes les sauces. Puis j’ai succombé et certaines couleurs, certaines textures. Toucher ma peau de manière autre que par ces mouvements pour appliquer ma crème. On réalise aussi à un moment le petit coté pervers, se regarder de tous les angles, ne surtout pas faire les erreurs vues dans la rue, autrefois/toujours raillées(bonjour le teint orange, bonjour la couche de fond de teint).
    Alors j’y suis allée timidement. Et aujourd’hui, c’est une question d’envie, de comment je vais lancer ma journée, ce que je veux en « tirer », où même tout simplement, tirer de moi-même.
    C’est très clairement comme mettre une jolie robe ou alors un jean boyfriend… Et ensuite se déshabiller/démaquiller… avec amour !
    On essaie de faire jolie, chercher le bien-être, mais les intentions sont différentes. C’est en ce sens qu’on se sublime avec un peu de maquillage, non ?

  • Dans les deux cas tu es très belle. Le maquillage est fait pour sublimer, comme le parfum, les vêtements que l’on porte mais à des instants de notre vie, il faudra se montrer nue de tout et l’autre continuera de nous aimer car il nous voit vraiment telle que l’on est…avec ou sans maquillage! La seule chose qui m’embête un peu est la retouche photo à outrance car ce mensonge peut faire mal à toute une génération d’ados qui tente de s’y reconnaître mais qui forcément n’y parviendra pas. Alors du make-up bien-sûr, on se met en valeur sans tromper !

  • La question du maquillage est une vaste question que certains vont placer dans la moralité…. Pour ma part tous les hommes de ma vie détestent le maquillage (père, mari) ma mère ne se maquille presque jamais, mes grands mères non plus; du rouge a lèvre à noël et c’est le bout du monde et pourtant moi j’aime énormément me maquiller et ce depuis toujours.
    Lorsque j’étais enfant je pensais déjà au maquillage je trouvais cela tellement féminin, aujourd’hui encore j’aime regarder les femmes qui se maquillent je trouve cela tellement beau et sensuel et finalement le maquillage peut être une expression d’une émotion.
    Cependant j’ai un rapport au maquillage assez serein, il m’arrive de me maquiller ou pas, le dimanche et en vacances je ne me maquille pas et j’aime ça aussi. En revanche lorsque je me maquille je n’aime pas qu’il soit neutre je trouve ca ennuyeux, cela ne me correspond pas.Lorsque j’étais enfant je vivais en Martinique (même si je suis blonde aux yeux bleus) et du coup dans ma tête il y a toujours des couleurs très vive et franche d’ou le fait que j’aime ton blog, le rapport à la couleur est quelque chose qui me parle.
    D’ailleurs on peut noter que les femmes de couleur ont un rapport au maquillage souvent plus vif que les européennes comme si on avait tendance a faire corps avec notre environnement, notre culture, notre histoire.
    Il ne faut pas donner trop d’importance aux regards des autres, il faut vivre comme on le sent et être soi c’est le meilleur moyen d’être belle.
    Mille bisous

  • « avoir peur de se maquiller (et de mentir) ou de ne pas se maquiller (et d’être repoussante) sont finalement la même chose. »

    Oui ! Les deux naissent du même effet pervers qui veut que les femmes existent pour les autres, comme dans une sorte de représentation permanente, avec un cahier des charges empli de contradictions.

    Se maquiller parce qu’on se sent plus libre comme ça, ne pas se maquiller pour la même raison, et avoir le droit de changer d’avis un jour sur l’autre, ou même d’un instant à l’autre.

    Ya pas de défaut(s) on fait ce qu’on veut avec nos cheveux, et ceux que ça défrise, et ben tant pis pour eux.

  • C’est toujours un réel plaisir de te lire. J’ai beaucoup apprécié cet article encore une fois et tout autant les commentaires qu’il a suscité. Bravo pour tous ces témoignages les filles. C’est marrant, je me reconnais toujours un peu dans chacun ! Perso, je me maquille plutôt peu je pense, en tout cas pas tous les jours. Je m’occupe très rarement de mon teint (à part une BB crème de temps en temps) ou de mes yeux mais j’adore le rouge à lèvres, qu’il soit nude ou pétant ! J’ai d’ailleurs beaucoup acheté suite à des articles blogs… Même sans me maquiller souvent/beaucoup, je collectionne les couleurs (palettes, vernis, etc) et j’adore lire les articles beauté !

  • C’est une réflexion intéressante et apparemment les avis sont assez tranchés!
    Pour ma part se maquiller ce n’est pas mentir. Je me teins les cheveux et je n’ai pas l’impression de mentir, les gens se rendent bien compte que je ne suis pas une vraie rousse! Le maquillage ou les fringues sont pour moi un moyen d’expression.
    Et merci à toi timai de nous apporter par tes idées et ta liberté des pistes pour se maquiller en osant. J’aime que le maquillage puisse faire les 2 me maquiller ou me sublimer suivant mes envies.
    C’est marrant car cette réflexion me fait particulièrement écho. Cette semaine je pars donner une formation et je me rends compte le soir tard en me démaquillant que j’ai oublié ma trousse de maquillage (mais pas de quoi me démaquiller, ouf). Après un peu de panique je me dis que c’est une bonne occasion de sortir vraiment sans rien. Parfois je me maquille peu mais j’ai toujours un peu de khol. Là rien. En plus le maquillage ça aide à se donner confiance lorsque l’on intervient devant des inconnus. Au final j’ai rapidement oublié que je n’en avais pas et on m’a même fait des compliments sur mon teint (moi qui pensais que tout le monde verrait mes cernes!). Mais je suis quand même bien contente que le maquillage existe et qu’on puisse tester autant de choses différentes!

  • Je crois que le problème des femmes qui n’osent pas se maquiller est qu’elles n’ont pas trouvées le maquillage qui les mettraient en valeur.
    J’avoue je me maquille très peu, comme je suis toute la journée à la maison, je pense pas à me maquiller. Du coup même si il y a une sortie imprévue de dernière minute, je sors sans maquillage…
    Et pourtant j’en achète…
    Je n’arrive pas à trouver la bonne facon de me maquiller, exemple j’adore l’eye liner, je n’ai jamais réussi à l’appliquer pour que ce soit beau, j’ai les paupières tombantes…
    Le seul produit que j’utilise le plus en fait est le rouge à lèvres, là je n’hésite pas à mettre du fushia fluo, du vrai rouge, et c’est grâce à toi Timaï

  • Je porte plus d’attention à mon visage lorsque je croise souvent des miroirs. Dans mon ancienne salle de bain, il y avait un grand miroir, idéal pour se contempler. Dans la nouvelle il y en a un tout petit, à moitié caché par les brosses à dents de mes colocs. Donc j’y pense moins. Ma routine de soins ne change en rien car ce sont des gestes que je connais et qui ne nécessitent pas que je me regarde, en revanche je ne prends plus le temps de tracer des lignes ou de poser des couleurs. C’est une activité créative comme une autre, qui nécessite de l’inspiration. Mon reflet m’inspire, j’aime utiliser mes traits et créer un visage. De même que croiser un piano me redonne envie d’en jouer, que croiser une feuille avec un stylo me redonne envie de dessiner, je sais que lorsque je serai à nouveau amenée à croiser mon visage, j’aurai envie de me maquiller.

  • Maquillage = révélateur de personnalité
    Un maquillage bien choisi c est comme un vêtement bien coupé qui vous va divinement bien!!!!

    Et puis s afficher sans maquillage à partir d un certain âge c est comme se trimballer à poil alors que l on a plis 20 ans
    Vous voyez ce que je veux dire????

    Vive le make up, light and beautiffull … Comme la vie que l on peut se faire….

  • Coucou Mai j’ai adoré ton article,le maquillage est pour moi est maintenant un jeux,une manière de s’amuser et de se transformer comme tu le dit toi meme tandis qu’avant je n’aurais pas penser sortir sans maquillage comme si il fallait que je cache mes petits défauts,maintenant que j’ai appris a mieux « m’aimer » j’adore me maquiller et comme tu le sais j’espère en faire mon métier. Merci encore pour ton colis,les photos arriverons plus tard car en ce moments je suis tomber trés malade alors on va attendre de meilleurs jours,Bonne Journée a toi et milles bises !

  • Hello Mai!
    – 21 ans: découverte de l’eye-liner, ma seule et unique manière de me faire des jolis yeux – ils ont une forme OK mais ils sont petits. Et puis le mascara pas possible pour moi, bah oui mes cils sont riquiqui et droits et le mascara les fait TOMBER (des cils d’asiatique quoi, je suis moitié viet haha). Et depuis je ne pouvais me passer de liner que le week-end et devant ma famille. Déjà, j’étais ultra heureuse d’avoir un complexe en moins, et puis depuis quelques mois, jsais pas je me dis que je suis devenue « dépendante » de ce fameux trait, que même peut-être ce n’est pas bon de me mettre une matière aussi épaisse et chimique toute la journée sur une des parties les plus fragiles de mon visage (impossible de trouver un liner sans paraben par exemple). Depuis je me force à sortir sans de temps en temps et j’use et abuse du contour des yeux de peur d’avoir les paupières fripées à 30 ans haha!!!!
    – 25 ans – il y a quelques mois: découverte du fond de teint!!!!! Wouah mais j’ai une peau vraiment bien avec de truc! Comment je pouvais vivre sans, les gens me trouvaient-ils affreuse? Moi maintenant, sans fond de teint je me trouve vraiment bof. Et mon moment préféré du matin, c’est pas le ptit dej non non, c’est quand en quelques massages je me fais un teint de poupée. Donc je sens que ça va me faire pareil que le liner!

    Je pense comme toi, tant qu’on est heureux, ne nous posons pas de questions! Si on s’inquiète, qu’on est mal à l’aise, on fera tout naturellement ce qu’il faut (ou alors on est maso).
    Bisous et j’adore ton blog!

  • @June : Et quand bien même ils penseraient que tu es une vraie rousse, les gens, ce ne serait pas un mensonge, si ?

    Parce que la notion de mensonge est teintée de jugement moral, alors qu’il n’y a rien d’immoral à prendre soin de soi comme on l’entend, comme ça nous fait du bien, en se maquillant, se teignant les cheveux, en mangeant ou en faisant quoi que ce soit d’autre qui nous fasse du bien.

    Alors même si tu n’es pas une « vraie » rousse, tu ne mens pas, parce que le mensonge implique qu’on doit la « vérité » à quelqu’un. Moi je suis d’avis qu’en ce qui concerne notre que corps, on ne doit qu’une vérité, et à soi-même, celle du respect.

  • Je suis absolument d’accord avec toi, même si longtemps, je me suis cachée derrière ma soi-disant spontanéité. Non, tu as bien raison, il faut chercher plus loin: c’était de la peur. Et je ne suis pas plus futile maquillée, ni en écrivant un blog de filles qui parle de sentiments d’ailleurs. C’est un long chemin pour ma part, de me détacher des conventions et du qu’en dira-t-on, mais bon dieu, ce que c’est bon! J’adore ton blog et félicitations à ta copine pour son livre, il est sublime!
    Belle journée. xxx

  • Intéressant cette problématique autour du maquillage. Perso, je suis assez dans un extrême, soit je me maquille peu voire pas du tout, j’ai un rapport très périodique aussi, parfois je me maquille tous les jours pendant 3 semaines puis plus rien pendant plusieurs jours.soit je me « sublime » 🙂 et là je sors le grand jeu et cela fait toujours un bel effet sur les autres.
    C’est vrai que parfois je ne maquille pas aussi, parce que je ne veux pas cacher, dissimuler que ce jour là je suis fatiguée, que je suis triste, que j’ai passé une sale nuit. Je ne veux pas le cacher aux autres, mais auprès de moi aussi. C’est une manière de me confronter à moi-même. Bref, cela m’interroge :-).

  • Si je peux transmettre ça à mes filles et qu’elle se sentent profondément bien dans leur peau quand elles seront grandes eh bien une partie de mon travail de parent sera fait!
    Surtout si c’est fait comme toi avec un sourire et un clin d’oeil en conclusion!

  • Comme beaucoup ma relation au maquillage évolue selon les étapes de ma vie.
    Je maquillais auparavant chaque jour, assez simplement (teint poudré, eyes liner, mascara, blush parfois, un peu de couleur sur les lèvres parfois).
    Aujourd’hui je me maquille encore mais … seulement chez moi. Dehors je mets encore du mascara et parfois un nude très léger sur mes paupières et … c’est tout.
    La vie change et nous change.

  • Merci pour cet article, je trouve qu’il se relie un peu à la vidéo de Lisa qui ne voulait pas être filmée sans maquillage. Je viens souvent sur ce blog, même si je en suis pas une grande addicte du maquillage. Mais j’aime la façon dont tu vois les choses, tes petites vidéos… Mais c’est vraiment sur cet article que je me reconnait le plus. Tu viens de dire ce que je n’arrivais pas à formuler. Merci beaucoup pour tout, ca fait du bien !
    Bonne continuation (dommage qu’il n’y ai pas plus de photos, je m’attendais à te voir totalement modifiée avec différents maquillages, mais le texte se suffit )

  • « je pense qu’il y a des généralités mais pas de règles »… OUF! un grand merci Timai pour cette phrase!… À l’heure des idées étroites et préconçues, un peu de bon sens, çà ne nous fait pas de mal… Juste un peu d’air pour être librement ce que l’on a envie d’être et d’exprimer…

  • Perso, j’aime me maquiller un peu. Je ne pense pas « mentir » aux autres. Simplement, je mets en valeur, j’accentue certains traits de mon visage qui me plaisent. Je vois ça sous un angle presque graphique : comme un dessinateur de BD accentue certaines particularités de la physionomie de ses personnages. Après tout, si une fille aux jolies jambes aime les mettre en valeur avec une jolie jupe, pourquoi serait-ce mentir que de mettre de beaux yeux en valeur avec une touche de poudre ?
    Bises

  • Et bien moi je me préfère ( légèrement ) maquillée , ça met mes yeux en valeur , on me fait souvent des compliments … donc voilà je me maquille tous les jours et je n’y vois aucun problème … Et puis surtout c’est pour moi un véritable moment de détente le matin avant ma journée de travail , c’est une sorte de rituel : je m’assoie devant ma coiffeuse ( et oui c est un peu cliché mais j’ai une coiffeuse) , je mets le son qui convient à mon humeur ( je me maquille toujours en musique) puis je choisis les produits que je vais utiliser toujours en fonction de mon ressenti … bref c’est MON moment avant d’attaquer la journée et je ne louperais ça pour rien au monde ! Haha

  • Le jour où j’ai compris que les filles qui se maquillaient beaucoup étaient très peu sûres d’elles, je les ai trouvé touchantes.
    Et moi finalement un peu bète de ne pas assumer ma féminité. C’est grâce aux blogs beauté que maintenant j’ose le rouge à lèvres, qu j’apprends à me maquiller les yeux (un peu, j’ai encore du mal). Que je me sens jolie avec ces petits plus.
    Avant je ne mettais rien sur mon visage, parce que je ne savais pas m’y prendre, parce que je n’osais pas, n’assumais pas. Peur de mentir un peu, dans le sens où je voulais avoir la même tête en soiree qu au réveil, ne pas paraitre malade démaquillée (parceque j’ai des amis c était le cas).
    Des amies ont deja critiqué la couleur de mon rouge à lèvres  » ah c’est un rose pouf ». En attendant je me sens bien avec cette couleur ( fushia). Ca reveille une tenue très basique, ou sophistique une coiffure faite à la hâte, un peu en bataille.
    Comme quelques filles ici, c’est selon l’humeur. Mais generalement, juste du rouge à lèvre ou du mascara et je me sens jolie. A partir du moment où on le pose, c’est qu’on se sent jolie ou on veut l’être.
    C’est surtout ma peau dont je veux prendre soin.
    Des cheveux qui brillent, une jolie peau avec juste les yeux ou la bouche mis en valeur et un rayon de soleil sur une epaule nue, et on est la plus belle du monde nan ?
    Merci Timai pour avoir envie de communiquer ton epanouissement 🙂

  • Merci pour ton blog, merci pour la joie de vivre que tu transmets à travers tes articles et tes couleurs ! Et surtout, merci de nous libérer de nos angoisses 😀
    J’étais victime de mes sourcils redessinés depuis plus d’un an, n’arrivant plus à sortir de chez moi sans passer par l’étape du pinceau. J’avais peur de tout. De la pluie, de la chaleur, des lunettes de soleil un peu trop hautes, de la piscine… Même des caresses de mon amoureux ! Pas pratique, sans compter l’énorme trousse à se trimballer « au cas où »…
    Puis j’ai lu ce poste et il m’a fait un bien fou. Comme un déclic. J’avais peur que les gens qui me surnommaient « la fille aux sourcils » émettent des commentaires « tu étais mieux avant », « tu as l’air malade » mais grâce à ton article, j’ai maintenant de quoi répliquer !
    Depuis, il y a des jours avec et des jours sans sourcils. Et je m’éclate ! J’ose sortir différente. Tester de nouvelles couleurs, de nouvelles textures…
    En me libérant de « ma marque de fabrique », j’ai pu découvrir les joies du maquillage pour le plaisir. Et je peux enfin vivre l’été pleinement !
    Enfin voilà, un commentaire sous forme de grosse tartine façon témoignage pour te dire simplement : Merci 🙂 🙂

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