Remember Brené

De la Vulnérabilité

Enorme claque!!!! énorme! l’autre jour, Jerry me dit « viens je te montre quelque chose! » je m’assois devant cette vidéo et suis totalement absorbée par ce que je vois et entends. ça me parle, ça me parle! MERCI! Jerry avait à l’époque dit la même chose à Grayson, qui d’ailleurs en parle dans son bouquin, et dans la vidéo faite ensemble : la vulnérabilité est d’un immense pouvoir!

Alors j’aimerais bien que vous me disiez ce que vous en pensez, car je trouve cette longue vidéo tellement éclairante! c’est quoi la vulnérabilité pour vous? la pratiquez-vous?

dîtes moi et vendredi, je vous parle de son livre… incroyable! car je ne me suis pas arrêtée là et ai ensuite enchaîné sur son bouquin : How Daring Vulnerability will change the way you Live, Love, Lead and Parent (lien en Français).

affaire à suivre!

d’ici là dîtes moi tout et n’hésitez pas à partager cette vidéo, qui change le monde!

 

Il y a 7 ans / Bouche 41 commentaire(s)

41 commentaire(s)

  • Hello Mai… J’ai vu la vidéo de Brené il y a une semaine et… elle m’a bouleversée, elle m’a touchée au plus profond de mon être, tout comme ton article sur la perfection (ou non-perfection). J’ai 21 ans et mon perfectionnisme me ronge. Je me rends compte que j’ai essayé de plaire à tout le monde autour, de faire rire et de bien travailler, sans trouver au fond de moi ce qui m’anime, ce qui m’appelle, et Dieu ce que c’est angoissant, ce grand questionnement existentiel, soudainement.
    Par où commencer je me demande? Quel chemin prendre, pour accepter cette vulnérabilité et accueillir la joie pure comme la tristesse, ne plus forcer aucune émotion ou action, seulement les sentir et les recevoir…
    Je suis au début du chemin… un conseil de départ?
    Merci pour ces articles beaux de sincérité et d’humilité, sur ton propre chemin, j’aspire à trouver une telle authenticité avec moi-même !

    • par ou commencer? mais pauline tu as déjà commencé. il est tres rare que cette prise de conscience arrive si tôt. nous sommes tous en mutation perpétuelle. il faut lâcher prise. ne plus se mettre en mode projet 24/24. écouter l’autre, accueillir le moment, se la fermer, observer… juste etre. je t’embrasse et belle route pauline!

  • Bonjour Mai, ma vulnérabilité, je vis avec chaque jour et avec ma joie et avec l’amour que je peux ressentir en moi, lui ne l’est pas. J’irai voir cette vidéo avec attention.

  • J’ai regardé cette vidéo pour la première fois il y a quelques mois et c’est devenue d’office ma TED Talk préférée, j’avais pris des notes en la regardant et de temps en temps j’y reviens, surtout pour ce passage auquel je m’identifie énormément: « you cannot selectively numb emotions », c’est là que j’ai compris pourquoi j’ai du mal à célébrer les moments joyeux, je numb mon anxiété et en ce faisant je numb toutes mes autres émotions même joyeuses. Je n’ai pas encore de solution mais le fait d’en prendre conscience est un bon début je pense…

  • « Atteindre son but ne rend pas nécessairement heureux, c’est parfois tout le contraire. Pensons à ces cas, plus fréquents qu’on ne le dit, où une réussite longtemps et ardemment désirée plonge son bénéficiaire dans une profonde dépression. » « … sitôt une réussite obtenue, sans prendre la peine de savourer le bien acquis, nous voilà très vite inquiet d’un nouvel objectif. »
    Denis Marquet
    https://www.denismarquet.net/ca-tend-en-moi/

  • André Comte-Sponville De l’autre côté du désespoir p 53 :
    Le travail que propose Swamiji : non pas dire non à ses désirs ou à ses rêves (renoncement, résignation), mais dire oui à son désespoir et à tout (acceptation : détachement).
    « Non pas laisser tomber (give up), mais laisser le détachement se produire (drop out). »
    Et pour cela : dire oui à ses désirs et à leur insatisfaction, dire oui, surtout au réel ou à la vérité.
    « La frustration et la dépression viennent simplement du refus, du fait de dire non. »
    … accepter la dépression … « Oui » doit être votre seule parole dans la vie.
    Dites « oui » à tout et ne refusez rien. » La sagesse est du côté de l’approbation, de l’acquiescement, du consentement : non le ressentiment mais le deuil et la miséricorde, non le renoncement mais la jouissance lucide et pleine. Jouir et se réjouir : c’est la sagesse même. »
     » L’inconscient est une vague dans laquelle on peut se noyer.
    Le passé nous submerge et nous empêche de vivre dans la réalité présente.
    Si tu deviens consciente, tu mettras le passé à sa place et tes ombres disparaîtront.
    C’est un travail long, jamais spectaculaire, parce que le sable à évacuer se fait à la petite cuillère. Petite cuillère après petite cuillère. C’est ça le chemin de l’évolution.
    P 70 Un pèlerinage intérieur – Paule Amblard

    Jésus n’avait pas une minute à perdre, aucune énergie à mettre dans l’explication de la souffrance par ses causes. Il encourageait systématiquement son entourage à se dé-fasciner de cette quête sans fin de l’origine du mal : retournez-vous, répétait-il, allez dans l’autre sens, transformez l’insoluble pourquoi en un pour-quoi plein de surprises; la réponse est tout entière dans ce que vous allez faire de ce qui vous est arrivé.
    Lytta Basset Le désir de tourner la page p 145
    Je suis passé par la dépression.

  • Je nourris ce que je nie. Car la négation est attention ; et, plus encore, attention exclusive car sa logique est de prendre toute la place : le « je ne veux pas cela » se transforme en « je veux le non-cela ». Tout objet de mon désir est ainsi réduit à sa qualité de négation du connu que je refuse, donc nié dans son altérité d’inconnaissable. Par là, c’est la dynamique même de mon désir qui est niée. La négativité est le meurtre intérieur du désir. Le désir n’émerge que dans l’espace du oui. On ne manque jamais que de ne pas donner ce dont on croit manquer.
    Denis Marquet
    On ne manque jamais que de ne pas SE donner ce dont on croit manquer : L’amour ! ça c’est de moi ! 😉

  • Vulnérabilité – Acceptation de rencontrer les douleurs
    « De me tendre vers l’extérieur et de fuir mes sensations vers des objets, je peux m’exercer à me détendre vers l’intérieur et à coïncider avec ma vérité sensorielle.
    Cette difficile traversée passe par l’acceptation de rencontrer les douleurs de mon âme que mes anciens fonctionnements avaient précisément pour vocation de garder à distance.
    Mais par-delà le rideau de la souffrance peut s’ouvrir l’expérience intérieure.
    La vacuité en moi qui m’effrayait tant se découvre un espace ouvert qui est plénitude de sensation subtile, savoureuse, indicible. Et peut-être pourrai-je m’apercevoir joyeusement de ceci : tout ce que le mouvement pulsionnel ancré dans mes manques m’incitait à chercher hors de moi
    (amour, amitié, reconnaissance, douceur, tendresse…), je le porte en moi car je le suis.
    Naît alors un nouveau mouvement vers l’extérieur, fondé sur le désir de partager cette plénitude.
    Et si on ne sortait vraiment d’une dépression qu’en guérissant des fonctionnements dont elle nous a fait la grâce de nous rendre pour un temps incapables ? » Denis Marquet
    Chercher hors de soi la validation de l’autre en montrant de soi un personnage parfait, en ne voulant pas aller voir sa part de vulnérabilité.

          • La connexion au regard de ton propre vécu (prise de conscience), ce qui serait super, (et je serais ravi d’avoir participé à cette petite pierre à l’édifice), ou alors une connexion qui ne te concernerait pas forcément et qui serait compréhension (au niveau de l’intellect) ?
            Comme je l’avais écrit, la connexion pour moi a été évidente après lectures et observation de mon parcours.

        • Acceptation de rencontrer les douleurs…alors la pile poil dans « ma définition « …et je ne savais pas avant de voir la vidéo et de lire le com de Mr Ed que c était ça ?merci
          @Mai : je suis tellement étonnée que tu n aies pas fait le lien culpabilité- perfection…pour ma part c était tellement ça que j étais convaincue que pour toutes les personnes qui plongent dans le.perfectionnIsme plongeaient dans la culpabilité…
          Et je comprends mnt pourquoi certaines personnes ne me « suivaient pas » quand j expliquais…ca m a valu des relations de force qui en fait Après réflexion n en valait pas la peine…incompréhension quand tu.nous tiens?
          Merci pour tous ces partages…
          Je pense acheter son livre même si sur le coup je me suis dit « ben non parce que j ai dépassé tout ça… » tu parles…j ai encore besoin d un sacré éclairage…ahahaha

  • « Cela me saute aux yeux que j’agis en permanence comme si j’étais coupable, comme si je devais constamment me justifier. J’en connais qui se sentent coupables de prendre des vacances, d’être malades ou dépendants, et même coupables d’occuper une place, physiquement, à côté de qq’1 qu’ils jugent toujours « plus important », mais aussi de prendre leur place dans la société, dans la vie. À un dgré moindre, je lutte peut-être – je m’en rends à peine compte – contre une mauvaise conscience quasi chronique : je ne suis jamais à la hauteur, je ne mérite pas l’estime qu’on me témoigne, j’aurais dû faire ceci, faire cela … Je ne parviens pas vraiment à m’apprécier tel que je suis. …. La condamnation de moi-même – est si assourdissant que mon bon sens lui-même n’a aucune prise : je sais que je déraille, que je ne suis pas dans la réalité, mais cela ne change rien.
    Et l’issue n’est pas du côté de l’ENFER ALTERNATIF, celui qu’on appelle PERFECTIONNISME OU AUTOJUSTIFICATION. Je me rends compte de plus en plus que LE PERFECTIONNISME M’A LONGTEMPS PROTÉGÉ(E) DES SENTIMENTS DE CULPABILITÉ. C’était même ma raison de vivre : surtout ne jamais être pris(e) en défaut, prévenir la critique, être conforme, répondre aux attentes des autres, ne jamais les décevoir. » Lytta Basset « Le désir de tourner la page »
    Pour la faire courte, la pensée que mon frère de 14 mois de moins que moi ne soit plus là, qu’il soit zéro, au moment où je n’avais pas la capacité de parler, puis qu’il soit mort au moment où j’ai « découvert » ce que signifie la mort, a engendré en moi culpabilité et … perfectionnisme. :-(( Personne n’a vu cela, personne n’a pu me rassurer, me consoler de cette monstrueuse pensée qu’il ne soit plus là, de ma colère qu’il soit là, de mon désir, face à cette tourmente, de moi-même ne plus être là. Personne, à part moi !

    Deux frères, Caïn et Abel font au Seigneur pour l’un, « une offrande des fruits de la terre » (Gen. 4/3), pour l’autre une offrande « des premiers nés de son troupeau et de leur graisse » (Gen. 4/4). Il est dit que « le Seigneur porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande, mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande « (Gen. 4/5). « Caïn fut très irrité et son visage fut abattu » (Gen. 4/5). Caïn est blessé dans son attente à priori légitime. D’un côté la colère monte et vient nourrir le ressentiment qui conduit à l’esprit de vengeance. De l’autre le découragement qui incline vers la tristesse. Caïn touché au coeur se révèle violent, habité d’un sentiment de révolte face à ce qu’il conçoit comme une injustice.
    C’est à cet endroit que Dieu a choisi d’intervenir pour délivrer une pédagogie, ô combien éclairante. Dieu va révéler à Caïn qu’il peut faire de cet événement une occasion de croissance ou une occasion de chute. Il va le susciter dans sa capacité de liberté. Caïn est mis à l’épreuve de la confiance. Soit il fait confiance à Dieu et en son Amour et peut ainsi entrer dans l’intelligence de l’événement pour une ascension spirituelle. Soit il se laisse glisser vers le doute quant à l’amour de Dieu et à sa justice et devient la proie des mouvements aveugles de la nature.
    Caïn refusera de se laisser interroger par l’attitude divine, ne relèvera pas la tête et s’enfermera en lui-même. Se laissant submerger par la révolte et la jalousie, il se vengera de l’offense que Dieu lui a faite en tuant son frère.
    C’est ainsi qu’advient le premier meurtre dans l’histoire de l’homme. Meurtre qui est l’aboutissement d’une logique de rupture à partir d’une blessure initiale et qui est comme le prototype de toutes les violences faites à l’homme par l’homme.
    Deux frères, Caïn et Abel font au Seigneur pour l’un, « une offrande des fruits de la terre » (Gen. 4/3), pour l’autre une offrande « des premiers nés de son troupeau et de leur graisse » (Gen. 4/4). Il est dit que « le Seigneur porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande, mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande « (Gen. 4/5). « Caïn fut très irrité et son visage fut abattu » (Gen. 4/5). Caïn est blessé dans son attente à priori légitime. D’un côté la colère monte et vient nourrir le ressentiment qui conduit à l’esprit de vengeance. De l’autre le découragement qui incline vers la tristesse. Caïn touché au coeur se révèle violent, habité d’un sentiment de révolte face à ce qu’il conçoit comme une injustice.
    C’est à cet endroit que Dieu a choisi d’intervenir pour délivrer une pédagogie, ô combien éclairante. Dieu va révéler à Caïn qu’il peut faire de cet événement une occasion de croissance ou une occasion de chute. Il va le susciter dans sa capacité de liberté. Caïn est mis à l’épreuve de la confiance. Soit il fait confiance à Dieu et en son Amour et peut ainsi entrer dans l’intelligence de l’événement pour une ascension spirituelle. Soit il se laisse glisser vers le doute quant à l’amour de Dieu et à sa justice et devient la proie des mouvements aveugles de la nature.
    Caïn refusera de se laisser interroger par l’attitude divine, ne relèvera pas la tête et s’enfermera en lui-même. Se laissant submerger par la révolte et la jalousie, il se vengera de l’offense que Dieu lui a faite en tuant son frère.
    C’est ainsi qu’advient le premier meurtre dans l’histoire de l’homme. Meurtre qui est l’aboutissement d’une logique de rupture à partir d’une blessure initiale et qui est comme le prototype de toutes les violences faites à l’homme par l’homme.
    Deux frères, Caïn et Abel font au Seigneur pour l’un, « une offrande des fruits de la terre » (Gen. 4/3), pour l’autre une offrande « des premiers nés de son troupeau et de leur graisse » (Gen. 4/4). Il est dit que « le Seigneur porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande, mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande « (Gen. 4/5). « Caïn fut très irrité et son visage fut abattu » (Gen. 4/5). Caïn est blessé dans son attente à priori légitime. D’un côté la colère monte et vient nourrir le ressentiment qui conduit à l’esprit de vengeance. De l’autre le découragement qui incline vers la tristesse. Caïn touché au coeur se révèle violent, habité d’un sentiment de révolte face à ce qu’il conçoit comme une injustice.
    C’est à cet endroit que Dieu a choisi d’intervenir pour délivrer une pédagogie, ô combien éclairante. Dieu va révéler à Caïn qu’il peut faire de cet événement une occasion de croissance ou une occasion de chute. Il va le susciter dans sa capacité de liberté. Caïn est mis à l’épreuve de la confiance. Soit il fait confiance à Dieu et en son Amour et peut ainsi entrer dans l’intelligence de l’événement pour une ascension spirituelle. Soit il se laisse glisser vers le doute quant à l’amour de Dieu et à sa justice et devient la proie des mouvements aveugles de la nature.
    Caïn refusera de se laisser interroger par l’attitude divine, ne relèvera pas la tête et s’enfermera en lui-même. Se laissant submerger par la révolte et la jalousie, il se vengera de l’offense que Dieu lui a faite en tuant son frère.
    C’est ainsi qu’advient le premier meurtre dans l’histoire de l’homme. Meurtre qui est l’aboutissement d’une logique de rupture à partir d’une blessure initiale et qui est comme le prototype de toutes les violences faites à l’homme par l’homme.

  • Research ? Be search ! entendu de la bouche de Mélissa ! je suis tellement d’accord !
    Story teller …. ! Attention de ne pas en faire toute une histoire de son histoire !
    Ne pas être contagieux à soi-même

  • Bonjour Mai
    D’habitude, je me méfies des discours auxquels j’adhère un peu trop vite, un peu trop bien : un petit peu d’autodéfense intellectuelle ne faisant jamais de mal, je critique, je ressasse, je cherche le contre exemple.
    Mais là, je ne trouve pas, enfin pas en ce qui me concerne, car soyons sérieuse 2 min , mon cas pourrait illustrer à lui tout seul le chapitre «ceux avec réserve» de sa présentation,… 😉 !
    C’est limpide, c’est implacable : des notions connues de tous expliquant des émotions les plus personnelle de chacun..
    Perso, elle m’a eu au passage du « mérite qu’on se confisque ».

    Ca m’a fait penser à ce morceau que j’ai, pour l’occasion, ré écouter un peu différemment :
    FRAGILE ou de la découverte de sa fragilité/vulnérabilité par Tech N9ne, Kendrick Lamar, Kendall Morgan & Mayday
    https://www.youtube.com/watch?v=MRL6M60Y-yY

    • je vais aller voir. merci A. oui on veut souvent se dire « non non c’est pas pour moi, c’est pas moi » et puis parfois, ca nous prend comme une évidence « si si c’est moi ». il faut parfois aussi faire l’exercice de s’y mettre. de se dire « voyons ce qu’on peut apprendre ». je suis contente que ca te parle et vais oui aller voir ce que tu m’envoies la! bisous

  • J’ai acheté son livre il y a quelques temps sur les conseils d’une amie qui m’entendait souvent me plaindre de ma sensibilité. J’apprends progressivement à accepter cette part de moi même fragile et vulnérable.

    • bonjour christine! comme le dit brené, la vulnérabilité n’est ni une fragilité ni une (hyper) sensibilité. en revanche, etre fragile ou sensible demande, comme n’importe quel trait de caractère, d’être assumé et montré. il faut s’aimer comme on est non?! bonne route en tout cas et j’espère que cette lecture pourra te guider.

  • Merci, merci, merci pour la découverte de cette vidéo !!
    Déjà, ton (désolée pour le tutoiement, même si on ne se connaît pas, mais c’est spontané, tellement ce que tu écris en ce moment fait écho en moi) billet sur le perfectionnisme m’a touchée.
    Mais là, la vulnérabilité… c’est ça ! Je me suis toujours montrée forte, droite… jusqu’à, comme Brené le dit très bien, absorber les autres sentiments comme la joie et la gratitude.
    J’ai l’impression de m’essorer, de m’assécher…
    Je vais essayer de me « réhydrater »… !
    Merci beaucoup !

    • oh emmanuelle! oui au moisture de l’existence! c’est un chemin peut être plus mouvementé mais qui ne fait pas plus souffrir que celui on l’on cache et contrôle et maintenons sens cesse ce qui est attendu, a la surface de notre etre! belle route hein

  • Cette conférence est exceptionnelle, comme souvent chez xTED mais là… ce sujet… juste maintenant ! MERCI MAÏ pour cette nouvelle fenêtre que tu m’as offerte !

  • Une question, récurrente, à la lecture de chacun de tes billets, au visionnage de chacune de tes videos : qui est Édouard?

    🙂

    • Ahahah, qui suis-je ? Aye aye ces questions de qui je suis et de veux-tu te présenter ! 😉
      Je suis un peu, beaucoup, … Mai addicted (je n’interviens que sur son blog et suis admiratif des liens qu’elle peut avoir avec le monde et les personnes qui se dévoilent à travers ses écrits et ses vidéos). Je prends beaucoup d’espace ici, trop, souvent, et me dis en même temps que j’exabuse. J’ai du mal à faire du « less is more » (la preuve !), j’ai un esprit d’escalier (d’où des interventions en cascades) et aime bien provoquer, bousculer, parfois, sans méchanceté. J’espère, sans prétention (j’emprunte souvent à d’autres des écrits, des pensées, … on n’invente rien !) , que mes coms puissent contribuer à la réflexion, tout comme la mienne peut être nourrie par tout ce que je lis, ici et ailleurs. Il m’arrive de chicaner, de m’emporter (Brenée Brown, n’est-ce pas Mai ? 😉 certain que je suis, d’être dans le vrai, na ! 😉 ) J’aime lire, communiquer et retrouver les coms des intervenantes de toute cette e_famille autour de Mai. Cela m’amuse de voir qu’il peut y avoir parfois des échanges entre commentateurs/trices. Cela m’émerveille, autant de diversités et de points de vues, et cela me questionne sur les miens. Découvert un jour, que cliquer sur les prénoms ou pseudo, pouvait activer un lien. Oups ! a été ma réaction, puis je me suis dit que finalement, j’assumais ce que j’écrivais au sein de cette communauté bienveillante. Vous pourrez donc en savoir plus (sur ce que j’aime et sur mon travail) en cliquant sur mon prénom. (petite page de pub gratuite ! merci Mai ! 😉 )
      Parfois, je me pose cette même question : mais qui est … ? Et je me dis que « savoir » c’est bien et ne pas savoir, c’est bien aussi. J’aime les mystères et me dis que l’on peut être parfois un mystère pour soi-même, alors ne parlons pas des autres … Big mystères ! Enfin je vois de plus en plus que communiquer avec des mots est un art pas facile mais essentiel, c’est pourquoi la communication non violente ( Marshall B Rosenberg, Padovani, ..) me passionne. Ma « présentation » répond-elle à votre question ? Ping pong : Pourquoi cette question, et qui est Lu ? 😉

  • Merci Mai pour la piqûre de rappel <3 je crois bien que j'avais déjà regardé cette vidéo il y a quelques années! Le chemin est long, mais j'avance comme toi sur le courage de l'imperfection et c'est tellement agréable !
    Et merci pour ton blog, je suis en pleine session binge watch 😀

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